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Accidents et vols

Que faire en cas d'accident de moto ou scooter ?

05/12/2016 mis à jour le 06/04/2023
  • Accident
  • Assurance
Panneau renversé

Les sociétaires de la Mutuelle des Motards le savent, prendre la route à moto ou en scooter, c'est accepter de conjuguer plaisir et risques. Reste à savoir comment réagir le jour où l'on se retrouve confronté à un accident.
Quelle attitude adopter en tant que témoin ? Comment sécuriser les lieux pour éviter le sur-accident ? Quels sont les gestes qui sauvent ? Quelles démarches engager si vous venez d'être victime d'un accident ? Le jour J, quelques bons réflexes et des précautions apparemment anodines peuvent tout changer.

1. Les bons réflexes si vous êtes victime d'un accident

Grave ou pas, un accident est source de confusion et de stress. Voici les conseils élémentaires pour vous protéger si vous êtes victime d'un accident de la route.

Vous protéger et protéger

Si vous n'êtes pas blessé, ou simplement égratigné, et que vous pouvez le faire en toute sécurité, déplacez votre machine vers le côté de la route, hors de la circulation. Puis balisez les lieux de l'accident, et une fois la zone protégée, donnez l'alerte. Sur autoroutes, voies rapides et tunnels, utilisez en priorité les bornes d'appel d'urgence implantées tous les deux kilomètres. Leur numéro permet de localiser précisément le lieu de l'accident. Sinon composez le 18 pour les pompiers ou le 112 à partir d'un mobile. Pensez au 15 pour le SAMU et au 17 pour la police et la gendarmerie. En cas de blessure, alertez ou faites alerter les secours, et attendez leur arrivée. Si vous le pouvez, administrez-vous les gestes de premiers secours.

Premiers secours : pour vous et les autres

Sans brevet de secouriste en poche, gardez en mémoire certaines règles de sécurité : elles s'appliquent à tous les blessés, y compris vous-même. N’oubliez pas qu’il ne faut jamais déplacer un blessé - sauf en cas extrême comme un incendie - ni lui donner à boire ou à manger ni retirer son casque. En revanche, il est vital de le couvrir et de lui parler. S'il y a hémorragie, comprimez la plaie. En cas de force majeure, placez-vous en position latérale de sécurité, allongé sur le côté, un genou fléchi.

Constat et procès-verbal

Pour tout accident corporel grave - s'il y a blessure ou décès - les forces de l'ordre doivent établir un procès-verbal. C'est la police nationale en zone urbaine, la gendarmerie en zone rurale et les CRS sur quelques autoroutes qui en sont chargés. Si vous êtes sur les lieux et en état de le faire, incitez tous les témoins à fournir leur témoignage. Au minimum relevez leurs coordonnées (au moins le numéro de leur plaque d’immatriculation), si les forces de l'ordre ne le font pas. Relevez également tous les indices permettant de reconstituer l'accident : traces de freinage, débris, fonctionnement des feux tricolores, obstacles à la visibilité, etc. Si vous en avez la possibilité, prenez quelques photos avant de remplir le constat.

Déclaration à l'assurance

Sur le plan administratif et juridique, la première chose à faire après un accident est de le déclarer à votre compagnie d'assurance dans les plus brefs délais : par téléphone, mail ou fax si possible. Précisez au minimum le lieu, la date et l'heure, et tout autre élément connu à ce moment.

2. Les premiers gestes de secours à accomplir sur un accident

En cas d'accident, porter secours est une obligation légale et bien sûr morale. Une situation qui engendre beaucoup de stress : essayez de garder au maximum la tête froide, les idées claires et de rester calme.

Premiers pas de secouriste

Même si vous n’êtes pas secouriste, vous allez pouvoir rassurer et soutenir la victime. Attention à vos paroles : même si la victime ne répond pas, elle vous entend peut-être. Efforcez-vous de la maintenir consciente et de la convaincre de ne pas bouger : elle peut souffrir d’un traumatisme qui pourrait s’aggraver en cas de mouvement. Par ailleurs, ne laissez jamais une victime seule, sans surveillance. Enfin, si elle se relève seule, vérifiez tout de même qu’elle n’a pas subi un traumatisme crânien. Pour cela, posez-lui quelques question simples : « Avez-vous mal quelque part ? » ; « Quel jour est-on ? » ; « Que vous est-il arrivé ? ». Si elle répond correctement et de façon raisonnée, conseillez-lui quand même d’aller consulter au plus vite un médecin, afin d’écarter tout risque ou toute complication.

Ne jamais enlever un casque

Si la victime vous semble confuse dans ses propos, dans ses réponses, appelez au plus vite les secours. Si l’accidenté reste au sol, ne le déplacez sous aucun prétexte, au risque d’empirer ses blessures, notamment au niveau de la colonne vertébrale. En revanche, dégagez délicatement ses voies respiratoires. Pour cela, ouvrez son blouson, desserrez sa ceinture et/ou sa cravate, déboutonnez le col de sa chemise ou son chemisier. S’il s’agit d’une femme et qu'elle est allongée sur le côté, dégrafez son soutien-gorge. Enfin, détachez éventuellement la jugulaire du casque, mais uniquement la jugulaire. Ne touchez surtout pas au casque. Là encore, tout mouvement pourrait s’avérer fatal pour la victime en cas de traumatisme.

Surveillance et écoute

Si la victime réclame de l’eau, refusez avec tact. Cela peut en effet s’avérer dangereux ultérieurement en cas d’opération chirurgicale d’urgence. Proposez-lui plutôt de lui humecter délicatement les lèvres, pour atténuer la sensation de soif. Attention là encore de ne pas déplacer sa tête. Pensez également à couvrir la victime, même si la température vous semble clémente. Le choc de l’accident et un éventuel traumatisme peuvent entraîner une hypothermie. Pour cela, utilisez si possible une couverture de survie. Vous en trouverez dans tous les magasins de sport, pour une poignée d'euros, et pourrez la glisser sous votre selle, même dans les motos les plus exigües. Enfin, à l’arrivée des secours, ne vous éclipsez pas. Faites-leur un compte-rendu de l’accident et surtout des gestes de secours effectués.

3. Que faire si vous êtes témoin d’un accident ?

Vous êtes témoin d’un accident de moto ou de voiture. Pouvez-vous aider les victimes et si oui, comment ?

Pour évitez de céder à la panique, mémorisez la procédure des secouristes : le P – A – S. Un bon moyen mnémotechnique pour se souvenir des trois principales actions à engager : Protéger – Alerter – Secourir.

Quant à la rédaction du constat, vous pouvez être sollicité par les protagonistes.

Balisez les lieux de l'accident

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Avant tout, le meilleur moyen de protéger les victimes d'un accident - mais également les usagers alentour – est d’éviter le sur-accident. Pour cela, balisez les lieux en installant un périmètre de sécurité : placez par exemple votre moto en amont de l’accident, au moins à une cinquantaine de mètres. Pensez à couper le contact de votre moto et celui du véhicule accidenté. En cas de virage aveugle, placez votre 2-roues avant le virage. Même démarche si l’accident s’est déroulé après un sommet de côte, placez votre moto en haut de la montée, afin de la rendre la plus visible possible. C'est comme cela que vous alerterez les autres usagers de la route. Dans tous les cas, mettez un clignotant ou les warnings (si votre machine en possède), voire placez la moto face au sens d’arrivée, avec les feux de croisements allumés. Dans l’idéal, demandez à deux adultes de se placer à 100 ou 150 mètres de part et d'autre de l’accident, munis de gilets réfléchissants, de linges de couleur claire à agiter en bord de route ou, de nuit, de lampes électriques pour attirer l’attention des conducteurs en approche. Si possible, demandez également à un automobiliste un triangle de présignalisation. Et si vous circulez souvent de nuit, prévoyez d’emmener des bâtons phosphorescents : vendus à prix modique, ils ne prennent pas de place sous la selle (encore moins dans le top-case) et s'avèrent très utiles. Une fois jetés à terre (pour bien faire, plusieurs dizaines de mètres avant et après l’accident), ils brillent pendant environ 30 minutes et sont visibles de loin.

Alertez et renseignez les secours

Une bonne alerte est le point de départ d’une bonne intervention. Mieux vaut plusieurs appels qu’aucun. Si une personne vous dit avoir déjà alerté les secours, mais qu’elle semble ne pas l’avoir fait correctement, rappelez. Procédez à un examen rapide de la situation et de la victime pour donner les bonnes informations. La personne accidentée est-elle consciente ? Posez-lui des questions simples (”Est-ce que tu m’entends ? Que s’est-il passé ?”). Si elle ne répond pas, elle n’est pas forcément inconsciente, peut-être n’arrive-t-elle pas à s'exprimer. Demandez-lui alors de vous serrer la main (sans bouger le bras) ou de cligner des yeux. Respire-t-elle ? Commencez par faciliter les mouvements respiratoires en dégrafant ceinture et bouton de pantalon. Ouvrez délicatement la veste pour dégager les voies respiratoires. Dans le cas d’une personne inconsciente, placez doucement la main sur son ventre, durant une dizaine de secondes, pour sentir les mouvements du diaphragme. Respire-t-elle ? Son cœur bat-il ? La prise du pouls au poignet ou à la gorge se réalise facilement sur une personne non-blessée, mais se révèle plus délicate sur une personne traumatisée. Il est vital également de vérifier que la victime ne saigne pas abondamment.

Protégez les victimes

Recensez le nombre de victimes avec précision. Demandez s’il y avait un passager ou regardez aux alentours si personne n’a été éjecté dans le choc. Appelez ensuite les secours (le 112). Si vous êtes sur une voie rapide ou une autoroute, optez pour la borne d’appel la plus proche, les secours sauront immédiatement vous localiser. Soyez le plus précis possible et parlez clairement. Présentez-vous et donnez votre numéro de téléphone (les secours pourront ainsi vous rappeler en cas de problème). Indiquez avec précision la nature de l’accident et sa localisation avec des points de repère (point kilométrique, numéro de rue, coordonnées GPS si vous avez…). Précisez le nombre et l’état apparent des victimes (parle, saigne, respire, transpire…), leur sexe, leur position (assis, couché sur le ventre, sur le dos, sur le côté), les mesures que vous avez prises et les éventuels gestes effectués. Précisez le risque (circulation, disposition, virage aveugle…). Ne raccrochez pas en 1er, attendez les instructions des services de secours. Et surtout, rappelez si la situation évolue.

Portez secours et rassurez

Être témoin d’un accident engendre beaucoup de stress. Essayez de garder au maximum la tête froide, les idées claires et de rester calme. Même si vous n’êtes pas secouriste, vous allez pouvoir rassurer et soutenir la victime. Attention à vos paroles, même si la victime ne répond pas, elle vous entend peut-être. C'est le moment de faire pour elle ce que vous souhaiteriez que le parfait inconnu fasse pour vous dans les mêmes circonstances : porter les Premiers Secours.

4. Remplir le constat

Si vous avez assisté à un accident ou un accrochage, les protagonistes s'adresseront peut-être à vous pour attester des faits. Toute personne majeure ayant assisté à l’accident est susceptible d’être témoin. Cependant, certaines personnes peuvent être partiales du fait de leurs liens avec l’un des conducteurs : membres de la famille, préposé ou employeur, personne transportée (les passagers se sentent solidaires du conducteur qui les transporte, même s’ils ne sont pas liés à lui). Du coup, leur témoignage n’est pas retenu par les conventions entre assureurs.

Comment est recueilli le témoignage ?

Pour que votre témoignage soit valide, votre identité doit figurer sur le constat amiable (case n° 5), signé des conducteurs, avec votre adresse et/ou votre numéro de téléphone. Attention, vous n'avez pas à signer le constat. Si les forces de police interviennent parce que c’est un accident corporel, sachez-le, votre nom apparaîtra sur le PV de gendarmerie ou le rapport de police, car ces documents priment sur le constat amiable. Par la suite, l’assureur vous enverra un imprimé d’attestation que vous complèterez en indiquant notamment les circonstances de l’accident et en réalisant un croquis. Si votre témoignage est susceptible d’être produit en justice, vous en serez avisé (et prévenu des sanctions en cas de faux témoignage), il vous sera également demandé une photocopie d’une pièce d’identité. Notez que la plupart des assureurs, considérant que les témoignages tardifs sont peu fiables, voire douteux, ne reconnaissent valables que ceux recueillis dans les trois mois après l’accident.

Les règles de base

Remplissez le constat le jour même, sur les lieux de l’accident. Utilisez de préférence un stylo à bille, n’oubliez pas de mentionner la date et l’heure ainsi que la localisation. Il vous faudra ensuite vous montrer précis sur les cases à cocher, le croquis de bas de page (noms des voies inclus), les points d’impacts éventuels. Vérifiez ce que note l’autre conducteur, ainsi que son identité et sa compagnie d’assurance. Petite astuce: si vous avez déjà pré-rempli votre constat (mentions administratives, etc.), vous pourrez le « jour J » vous concentrer sur l’essentiel. En revanche, ne signez jamais un constat en blanc.

Blessés et témoins

Signalez la présence des blessés, même légers (case 3). Essayez de trouver des témoins, notez leurs noms, adresses et numéro de téléphone (case 5). Ces témoignages pourront jouer en votre faveur en cas de désaccord avec l’autre conducteur, voire s’il refuse de signer le constat. Si vous possédez un appareil numérique ou un téléphone équipé, photographiez la scène (véhicules, vue générale).

Les circonstances : crucial

La partie 12 prime sur les observations (case 14) et surtout sur le croquis. Cochez la ou les bonnes cases, une erreur pourrait faire basculer la responsabilité de votre côté. N’omettez pas d’inscrire à la fin le nombre de cases cochées. Sachez également que la remontée de file, bien qu'en expérimentation dans certaines régions, n’est pas encore prévue dans le « constat auto » (sic). À défaut de trouver votre bonheur, ne cochez pas une autre case : le Code de la Route stipule que chaque véhicule crée sa voie de circulation. Et attention de ne pas dessiner votre véhicule du mauvais côté de la ligne blanche !

Croquis, observations : soyez précis

Tout doit être bien matérialisé : ligne médiane, sens de circulation, situation de votre 2-roues… Indiquez le sens des virages avec des flèches et différenciez les lignes continues des lignes discontinues. Dans la case « Observations », optez pour un style télégraphique avec les 2 ou 3 principaux points du sinistre (éclairage, changement de direction…). Lors d’un accident en chaîne ou d’un carambolage, il vous faudra impérativement établir un constat avec chaque conducteur concerné : toujours dans la case « Observations », n'oubliez pas de préciser la notion de projection (véhicule B projeté sur véhicule C par véhicule A, par exemple) faute de quoi vous serez jugé responsable des dommages causés aux véhicules sur lesquels vous avez atterri !

En cas de désaccord

Une fois signé, le constat est irrévocable et vous engage sur l’ensemble de son contenu, partie adverse comprise. En cas de désaccord total, chacun peut remplir une déclaration unilatérale. Si le tiers refuse de remplir le constat, notez son immatriculation. Dans le cas extrême du délit de fuite ou de menaces, appelez la police. Dans tous les cas, envoyez votre constat à votre assureur dans les 5 jours suivant l’accident, et pensez à en garder une copie.

À charge ou à décharge ?

Les assureurs considèrent dans leur majorité qu’un témoignage n’a pour but que de départager les conducteurs divergeant dans leurs déclarations. Ils ne retiennent que les éléments qui confirment une version (exemples : changement de file, passage « au rouge ») et ne prennent pas en considération des éléments nouveaux. Les magistrats, quant à eux, ont toute latitude pour interpréter les témoignages, sous condition de motiver valablement leur décision. Si vous êtes amené à témoigner, prenez garde aux idées reçues, et ne retenez que les éléments dont vous êtes certain. Les témoins d'un accident mettant en cause un 2-roues estiment bien souvent - malheureusement en toute bonne foi - que le motard « allait vite » au simple motif... qu'il faisait du bruit (une moto est beaucoup plus bruyante qu'une voiture, même munie d'un pot homologué). Un témoignage récurrent, qui vient s'ajouter à des erreurs courantes des forces de l'ordre, concernant notamment l'absence de trace de freinage du 2-roues : s'il n'y a pas de trace, c'est forcément parce que le motard (ou le scootériste) allait trop vite et qu'il n'a pas eu le temps de freiner... Méconnaissance des techniques d'évitement et des spécificités d'un 2-roues (beaucoup plus manœuvrant qu'une voiture en situation d'urgence) sont à la base de nombreux contentieux entre la Mutuelle des Motards et les autres assureurs en raison de leur méconnaissance du risque 2-roues, des témoignages approximatifs recueillis sur les lieux d'accident et des erreurs contenues dans les procès-verbaux.

5. Accident : les précautions qui peuvent tout changer

Ça n’arrive pas qu’aux autres : un jour ou l’autre vous risquez d’être victime d’un accident. Personnes à contacter en cas d'urgence, groupe sanguin, premières démarches : parce qu'elles vont faciliter l'intervention des secours, quelques précautions préalables peuvent tout changer.

Des informations qui sauvent

Pensez à toujours garder sur vous, dans votre portefeuille, un papier sur lequel vous aurez pris la peine d’indiquer les renseignements qui simplifieront le travail des secouristes et leur permettront de gagner un temps précieux :

  • la ou les personnes à contacter en cas d’urgence,
  • votre groupe sanguin,
  • les renseignements médicaux vous concernant (allergies, traitements suivis, affections chroniques, antécédents, désaccord sur le don d'organes, etc.).

Le portable, un allié en cas d’urgence

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Même si vous êtes inconscient, votre portable peut être d'un grand secours. Pensez à entrer dans le répertoire de votre téléphone un ou plusieurs numéros « ICE » (In Case of Emergency, en cas d’urgence)  ou ECU (en cas d’urgence). La plupart des smartphones intègrent les numéros ICE ou des applications spéciales, qui permettent d’appeler le contact d’urgence même avec le téléphone déverrouillé. Il suffit par exemple sur un Samsung d’ajouter un contact dans le groupe ECU – En Cas d’Urgence ou sur un iPhone de télécharger l’ICE App.

N'enlevez jamais votre casque

Tout comme vous savez que vous ne devez jamais enlever le casque d'un motard victime d'un accident dont vous êtes témoin, n’enlevez surtout pas le vôtre après un accident. Et cela, même si vous vous sentez bien, et que vous vous relevez après votre chute. Que vous ayez ou non perdu connaissance juste avant, même quelques secondes seulement, gardez votre casque sur la tête en attendant l’arrivée des secours.