Zoom sur les premiers sociétaires membres de droit FFMC
Depuis le 4 avril, chaque nouveau sociétaire de la Mutuelle des Motards peut découvrir les actions de la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC) en devenant membre de droit pendant un an. Rien que la première semaine, plus de 200 nouveaux sociétaires ont répondu favorablement à cette proposition.
C’est lors de la souscription de son contrat d’assurance que le nouveau sociétaire choisit de devenir « membre de droit » de la FFMC. À ce titre, il peut découvrir les actions de l’association via les informations qui lui sont adressées et en participant aux actions et réunions organisées par l’antenne FFMC de son département mais il est dispensé de cotisation la première année. S’il le souhaite, il pourra devenir adhérent au terme d’un an (ou plus tôt s’il le désire) en s’acquittant de la cotisation.
Envie d'en savoir plus
Jonathan, qui réside au Touquet-Paris-Plage (Pas-de-Calais) et roule depuis peu en Suzuki 600 Bandit, fait partie de ces nouveaux sociétaires qui ont voulu en savoir davantage sur la FFMC :
Après avoir roulé deux ans en KTM 125 Duke, je viens d’obtenir le permis A2 en janvier 2017. J’avais vaguement entendu parler des motards en colère par rapport aux manifestations contre le port du gilet jaune et plus récemment sur la question de la privatisation des radars embarqués, juste par le biais de quelques posts lus ici et là sur les forums. J’avais envie d’en savoir plus
Le signe du spécialiste
"Cela m’a donc agréablement surpris lorsque le conseiller de la Mutuelle des Motards m’a proposé de découvrir la FFMC. Et en même temps, j’ai compris pourquoi plusieurs amis m’ont orienté vers la Mutuelle en disant que c’est la seule assurance vraiment spécialisée moto ! C’est un signe qui ne trompe pas. En tant que débutant, j’attends donc beaucoup des informations sur la FFMC. Elles me permettront de découvrir l’univers de la moto et de mieux partager ma passion. En plus, je crois qu’il y a fort à faire pour une meilleure prise en compte des motards dans la circulation, notamment lors des remontées de file ou pour éradiquer l’usage du téléphone au volant."