
La Mutuelle des Motards a noué un partenariat avec Carglass et France Pare-Brise. En s’adressant à l’un d’eux, les sociétaires ont la garantie d’un service irréprochable. Ils permettent aussi un meilleur contrôle des coûts des réparations et par voie de conséquence, du montant de leurs cotisations.
Avec 15% de ses contrats, la Mutuelle assure 35 000 automobilistes. C’est à leur attention qu’elle s’est rapprochée de Carglass et de France Pare-Brise, les deux références françaises du bris du glace. Marc Tibi, responsable d’activité du service technique de la Mutuelle, explique les avantages de ce rapprochement : « Ces deux entreprises sont ultra spécialisées. En matière de réparation ou de remplacement, qu’il s’agisse de pare-brise, de vitres latérales ou de phares, ce sont les meilleurs interlocuteurs. En tant que spécialistes, ils ont développé une qualité de service irréprochable. Enfin, le coût moyen du bris de glace dans ces deux enseignes est de 364€ contre 498€ chez les réparateurs non partenaires, soit un écart de 36% ».
Qualité de service
Pour le sociétaire, les avantages de ce partenariat ne sont pas qu’économiques : « Les produits sont le plus souvent en stock et livrés en un jour seulement. Les interventions peuvent avoir lieu au sein de leur réseau bien sûr, mais également au domicile du sociétaire ou sur son lieu de travail. Dans certains cas de figure, le prêt d’un véhicule de courtoisie est envisageable. France Pare-Brise et Carglass privilégient aussi la réparation au remplacement, ce qui évite au sociétaire de payer la franchise », détaille Marc Tibi. C’est donc aussi une façon pour les motards d’exprimer leur solidarité, même lorsqu’ils ont la casquette de l’automobiliste.
Équilibre bénéfique à tous
Avec la négociation de tels avantages pour ses sociétaires, la Mutuelle entend aussi rétablir l’équilibre de sa garantie bris de glace. Alors qu’elle ne représente que 5,4% des cotisations perçues, elle pèse pour 8,4% de la charge sinistre. Privilégier ces deux partenaires contribue donc à réduire ce déficit et à éviter une augmentation des cotisations. Marc Tibi n’hésite d’ailleurs pas à pointer du doigt « ces petits arrangements qui pèsent sur tous. Pour éviter à leurs clients de payer la franchise, certaines petites entreprises surfacturent le remplacement d’un pare-brise. Si nos sociétaires se laissaient séduire par ce genre de pratique, le montant de leur cotisation augmenterait très précisément du montant de leur franchise. Ce qui coûte plus cher à l’assurance finit toujours par coûter plus cher à l’assuré ».